Quand un bébé nait prématurément - Facebook en direct à voir ce jeudi
Je me souviendrai toujours quand j’ai lancé un appel sur la page Facebook, il y a 6 ans, pour inviter les lectrices à témoigner sur le blogue. Le courriel de Kim m’avait tellement touché et j’ai su que je devais lui partager ma plateforme pour raconter son vécu. Son bébé était né à 25 semaines de grossesse. Elle n’était assurément pas la première ni la dernière, malheureusement, à passer par là. Depuis, son texte a été lu des milliers des fois et ses mots sont venus aider plusieurs parents qui ont vécu une situation semblable.
Avançons quelques années plus tard à la naissance de ma nièce Eloïse à seulement 33 semaines de grossesse. Quand nous avions reçu l’appel que sa mère était entrée à l’urgence, nous étions tous un peu dans un état de choc. Que se passait-il? Car ce genre de chose n’arrive qu’aux autres… n’est-ce pas? Mais non. Chaque année au Québec, 6 000 bébés naissent prématurément. 6 000. C’est beaucoup.
Quand Eloïse est revenue à la maison après plus d’un mois passé à l’hôpital, plusieurs protocoles avaient été mis en place pour assurer sa santé, son bon développement – c’était primordial et tout le monde devait y mettre du sien.
La prévention des virus et infections est si importante. Voilà pourquoi je vous invite à prendre part au Facebook en direct qui aura lieu ce jeudi, à 12 h sur la page Facebook de Préma-Québec. Vous aurez l’occasion de poser vos questions et de vous entretenir avec Ginette Mantha de Préma-Québec et Dr. Jesse Papenburg du Centre universitaire de santé McGill. Ensemble, ils vous donneront trucs et astuces tout en vous expliquant pourquoi il est essentiel de prévenir la transmission des virus et infections chez les bébés nés prématurément.
Mme Mantha m’expliquait que les bébés prématurés sont plus à risque de complications s’ils sont exposés à des virus ou à des bactéries. Ces bébés sont aussi plus fragiles au niveau pulmonaire puisque le développement de leurs poumons ne s’est pas complété de la même façon qu’un bébé né à terme. Ainsi, si le bébé contracte une infection, il risque de tomber gravement malade et de devoir parfois même être hospitalisé de nouveau. Ces bébés sont notamment plus à risque de contracter le VRS (Virus respiratoire syncytial) causant des bronchiolites. Une réhospitalisation est un stress additionnel pour le parent qui l’a déjà vécu pendant plusieurs semaines lorsque l’enfant devait recevoir des soins dans une unité néonatale. Cela ravive donc, chez ces parents déjà fragilisés, des émotions douloureuses et la crainte de perdre son bébé.
Ce sujet, et bien plus encore, seront abordés lors du Facebook en direct cette semaine. Je pense que nous devrions tous être à l’affût et nous informer davantage sur le sujet.
RAPPEL
Facebook en direct ce jeudi dès 12 h sur la page Facebook de Préma-Québec
Voici un lien vers la liste des ressources de Préma-Québec et vers la brochure sur les maladies hivernales courantes, qui pourraient vous être utiles.
Mon équipe et moi y serons et ferons partie de la conversation, et vous?
Jaime xo
Suivez-moi sur Facebook
Suivez-moi sur Twitter
Suivez-moi sur Instagram
*Ce texte est présenté en collaboration avec Préma-Québec. Comme toujours, les opinions émises sont 100 % les miennes.
Un autre cadeau pour toi ! Gagne une chandelle non-toxique de la collection «clean» de Vanassa Grutman.