La rentrée est tough pour toi? Tu n’es pas seule.
La rentrée est tough pour toi? Tu ne comprends pas trop ce qui se passe? Tu n’es pas seule. Elle est rough pour moi et plein d’autres mères aussi. Je ne suis pas à ma première rentrée scolaire alors j’ai pris un moment pour y réfléchir… et je crois sincèrement que c’est la rentrée la plus difficile, autant physiquement que mentalement que j’ai vécu depuis que j’ai des enfants qui fréquentent l’école.
Je suis fatiguée, je prendrais deux semaines de vacances et pendant que je tape ces mots, nous sommes seulement le 22 septembre. Ah la la, l’automne sera long. Vivement la semaine de congé de mon fils au mois de novembre. Blague à part, je ne comprenais pas trop ce qui se passait et c’est en parlant avec une amie que j’ai eu mon AHA moment, que j’ai cliqué, catché, compris.
En fait, il est normal qu’on soit brûlés physiquement et mentalement – ça fait plus de 18 mois qu’on vit un quasi-cauchemar. Mais c’est tellement devenu normal qu’on ne s’en rend plus compte et on continue à avancer (on n’a pas ben ben le choix) et on oublie qu’on est au bout du rouleau.
Avant la pandémie, la vie roulait déjà assez vite et on devait gérer une panoplie de choses. Depuis, elle a peut-être ralenti un peu, mais notre charge, elle, a facilement doublé. Prenez un instant pour penser à toutes les choses supplémentaires que l’on fait maintenant?
Alors chère mère, cher parent qui a la charge mentale dans le tapis et la batterie à low et qui se sent seule et coupable de se sentir de la sorte?
TU N’ES PAS SEULE.
TU N’ES PAS SEULE.
TU N’ES PAS SEULE.
Je rame dans le bateau à côté de toi.
Puis d’autres rament à côté de nous.
Comment s’en sortir?
La question.
À vrai dire, je n’ai pas la réponse car si je l’avais, je ne serais pas aussi essoufflée.
Mais je pourrais dire ceci…
En prendre conscience est déjà un bon début.
Enlever le poids de la culpabilité serait également dans les premières choses à faire.
Se donner le droit de rouler moins vite, d’accomplir moins de choses.
S’en tenir à l’essentiel.
En parler avec d’autres.
Faire le plein de beau et de positif.
Prendre soin de sa santé mentale et physique.
Y aller un pas à la fois.
Pour ma part, je suis un work in progress. Le simple fait d’en avoir pris conscience m’a fait le plus grand des biens et m’a permis de mieux comprendre comment je me sens.
Je trouvais important de partager le fruit de ma réflexion avec vous car en jasant avec d’autres, c’est le constat quasi partout.
Alors au lieu de ramer seule, je vous envoie la main.
Je vous salue.
Je vous rappelle que vous n’êtes pas seule.
Avançons ENSEMBLE, un pas à la fois. Un jour à la fois.
Puis VIVEMENT la FIN de cette pandémie.
Gros câlin – je pense à vous! xo
Jaime
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