Marie Kondo, l’expérience se poursuit.

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Je peux vous dire que mon deuxième étage est entièrement fait. Oui, désencombré. 

J’ai même passé à travers la chambre des enfants et j’ai cru que j’allais y laisser ma santé mentale. Mais, non tout s’est bien passé et je ne peux pas croire que je me sens aussi bien.

Bien sûr, le brin d’étincelle ne survient pas toujours quand on classe les vêtements des autres. J’ai donc utilisé ma raison. Trop petit, trop usé ou mon enfant n’aime pas ce morceau…bref, j’ai quand même médité sur ces questions en écoutant mon cœur.

Après 8 heures de désencombrement (salle de bain du deuxième étage, salon familial et chambre des enfants), je respire enfin. 

Le principal avantage de la méthode Marie Kondo est simplement que tout reste en ordre, et ce même avec mes deux enfants. 

Il y a un petit ménage à faire ici et là, mais, rien comme avant.

Je me couche le soir et sérieusement, je n’ai pas grand-chose à ramasser étant donné que je n’ai plus grand-chose!

Je vous le dis, il faut le vivre pour comprendre. Il faut vivre Marie Kondo parce que je me sens libre dans ma maison. 

Aussi, en me débarrassant des vêtements ou objets qui ne semaient pas de joie en moi, j’ai réalisé une chose un peu…troublante. 

J’en ai jeté des affaires qui ne se donnaient pas ou qui ne se recyclaient pas. J’ai réalisé que toute la cochonnerie que nous avons dans notre maison est du superflu. Ça va finir au dépotoir! Je suis vraiment triste parce que j’ai contribué au phénomène de surconsommation qui pollue notre planète.

J’applique donc la méthode Marie Kondo dans mon magasinage. Joie? Vraiment? Sérieusement? Est-ce que cette paire de souliers éveille en moi une joie qui va durer?

Se poser les bonnes questions avant d’acheter est un pas vers une nouvelle façon de penser et de vivre.

Je ne veux pas plein de cochonneries dans ma nouvelle organisation.

Le désencombrement me fait donc réaliser que je suis mieux dans ma tête avec moins d’objets inutiles. Je suis bien dans la simplicité et c’est plus facile de vivre ainsi.

Enfin, après presque un mois, je constate que mes tiroirs sont encore rangés. Ma pharmacie est impeccable. La chambre des enfants n’est peut-être pas au goût du jour, sauf qu’on respire en y entrant. Juste ça, c’est extra!

Je me dirige donc vers le rez-de-chaussée tranquillement parce que désencombrer une pièce, c’est assez long et pour que le processus soit complet, notre mental doit s’adapter à ce nouveau mode de vie. 

Article rédigé par Laurence A Lavigne

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